Tout savoir sur les Robots Tondeuses Dreame : L’Innovation Silencieuse au Service de Votre Jardin

L’Arrivée d’un Challenger de Poids

J’ai eu l’occasion de tester plusieurs robots tondeuses ces dernières années, et l’entrée de Dreame sur ce marché a clairement attiré mon attention. Fini les câbles périmétriques fastidieux à enterrer ! La marque a pris un virage radical avec une approche sans fil qui change complètement la donne pour l’entretien des pelouses.

DREAME A1 Pro Tondeuse robotisée Intelligente, Tondeuse à Gazon robotisée sans Fil périmétrique, 2000 m², Contrôle Via App, OmniSense,Gestion intuitive des Zones, Évitement Intelligent des Obstacles
DREAME A1 Pro Tondeuse robotisée Intelligente, Tondeuse à Gazon robotisée sans Fil périmétrique, 2000 m², Contrôle Via App, OmniSense,Gestion intuitive des Zones, Évitement Intelligent des Obstacles

Une Technologie Qui Change la Donne

Navigation Sans Fil : Le Grand Plus

Ce qui m’a immédiatement séduit avec les Dreame A1 et A2, c’est leur système de navigation. Contrairement aux autres robots que j’ai testés auparavant, pas besoin de passer des heures à installer un câble périphérique autour de votre terrain.

Ces robots utilisent une combinaison plutôt impressionnante de technologies :

  • Un système LiDAR 3D qui cartographie votre jardin avec précision
  • Une intelligence artificielle qui détecte les obstacles
  • La technologie OmniSense™ pour analyser l’environnement en temps réel

J’ai constaté qu’en moins de 15 minutes, le robot était prêt à tondre. Un gain de temps considérable par rapport aux 2-3 heures d’installation habituelles avec un câble.

Les Modèles Qui Se Distinguent

Le Dreame A1 : L’Entrée de Gamme Intelligente

Ce qui m’a plu :

  • Il couvre jusqu’à 2000 mètres-carrés, largement suffisant pour la plupart des jardins
  • Son système de navigation LiDAR 3D est précis pour tondre le gazon
  • Il grimpe des pentes jusqu’à 45% d’inclinaison (j’ai testé sur mon terrain en dévers sans problème)
  • Sa batterie lithium-ion offre une autonomie convenable
  • Son prix reste accessible (environ 1399€) comparé à d’autres modèles sans fil

Ce qui m’a moins convaincu :

  • Il laisse environ 30 cm non tondus près des bordures, ce qui nécessite un passage avec un coupe-bordure
  • Ses rotations peuvent parfois abîmer légèrement les brins d’herbe
  • Le système anti-vol avec code PIN est un peu basique
  • La détection d’obstacles est perfectible sur certains petits objets

Le Dreame A2 : La Rolls des Tondeuses Sans Fil

Ce qui fait la différence :

  • Conçu pour les grandes surfaces jusqu’à 3000 m²
  • Son combo LiDAR 3D + Caméra IA est bluffant dans sa précision
  • Le système EdgeMaster™ réduit la zone non tondue à seulement 5 cm des bordures
  • Il monte des pentes jusqu’à 50% (j’ai vu peu de modèles capables de faire mieux)
  • Sa fonctionnalité connectée de surveillance avec alerte intrusion est un plus non négligeable
  • Nettement moins bruyant qu’une tondeuse thermique classique
  • Sa station de recharge est bien pensée

Les bémols :

  • Le prix est conséquent (environ 2499-2799€)
  • Il est assez imposant et lourd (16,4 kg)
  • Le temps de charge est un peu long pour les grands terrains

En Action : Ce Que J’en Pense

Après plusieurs semaines d’utilisation, les robots tondeuses Dreame m’ont franchement surpris par leur approche intelligente :

  • La hauteur de coupe réglable entre 30 et 70 mm s’adapte parfaitement aux saisons et aux types d’herbe
  • J’ai apprécié les cycles de tonte optimisés avec retours automatiques à la station de charge quand la batterie faiblit
  • La coupe est vraiment homogène grâce à ses trajectoires intelligentes qui évitent les zones déjà tondues
  • Le fonctionnement silencieux permet de programmer des tontes nocturnes sans déranger les voisins
  • Le mulching intégré transforme l’herbe coupée en engrais naturel, et j’ai constaté que mon gazon est plus vert depuis
  • L’application mobile est pratique pour programmer différentes sessions selon vos besoins

Le modèle A2, en particulier, m’a impressionné avec son système EdgeMaster™. La différence est flagrante : je n’ai presque plus besoin de passer le coupe-bordure après son passage.

L’Entretien : Plus Simple qu’il n’y Paraît

Maintenance au Quotidien

Pour être honnête, j’étais sceptique concernant l’entretien, mais c’est finalement assez simple :

  • Ces robots résistent très bien à l’eau (certification IPX6), et j’ai pu les nettoyer facilement au tuyau après des sessions sous la pluie
  • Les lames doivent être changées toutes les 6 à 8 semaines, ce qui est standard pour maintenir une qualité de coupe optimale
  • Les lames de rechange sont disponibles chez la plupart des revendeurs
  • Les mises à jour OTA améliorent régulièrement les performances sans intervention
  • Un nettoyage occasionnel des capteurs et contacts de charge suffit pour l’entretien courant
  • Contrairement à ma tondeuse électrique, ces robots fonctionnent parfaitement par tous les temps

Quelques Points d’Attention

J’ai quand même remarqué quelques aspects à surveiller :

  • Le revêtement peut se rayer lors des passages près des massifs ou haies denses
  • Les roues motrices peuvent parfois se bloquer dans de grosses irrégularités du terrain
  • Sur mon terrain en pente, j’ai constaté quelques glissements après de fortes pluies
  • Les passages étroits entre mes parterres de fleurs nécessitent parfois un coup de tondeuse à main

Pour Quel Jardin Choisir un Dreame ?

Après avoir testé ces robots sur différents terrains, voici mon avis :

Ils brillent particulièrement pour :

  • Les jardins bien délimités avec peu d’obstacles complexes
  • Les propriétaires qui, comme moi, en ont assez de la corvée hebdomadaire de tondre la pelouse
  • Les grands jardins jusqu’à 3000 mètres carrés (j’ai vu le A2 performer admirablement sur de vastes surfaces)
  • Les jardiniers cherchant à s’affranchir des contraintes du fil périphérique
  • Les technophiles qui apprécient les fonctionnalités smart et innovantes
  • Les petits jardins comme les grandes surfaces avec des pentes modérées
  • Ceux qui rêvent d’un gazon impeccable sans effort constant

Ils sont moins adaptés pour :

  • Les jardins très complexes avec nombreux recoins et passages étroits (j’ai constaté quelques difficultés)
  • Les terrains très accidentés ou jonchés d’obstacles bas comme les jouets d’enfants
  • Les pelouses entourées d’arbres fruitiers qui laissent tomber beaucoup de débris
  • Les budgets serrés, surtout comparé à une simple tondeuse manuelle

L’Histoire de Dreame: Des Aspirateurs aux Robots Tondeuses

Dreame est loin d’être un nom connu dans l’univers des robots tondeuses, et c’est normal. Cette entreprise chinoise, fondée en 2017, s’est d’abord fait remarquer pour ses aspirateurs avant de se lancer dans nos jardins.

Tout a commencé à l’université Tsinghua, où Yu Hao, spécialisé en mécanique des fluides, a développé un projet étudiant baptisé « Skyworks ». Ce projet a tellement impressionné Boeing qu’il s’est transformé en véritable entreprise. Xiaomi a vite repéré le potentiel et intégré Dreame à son écosystème, avec le soutien d’autres investisseurs comme Yunfeng Capital.

En matière d’innovation, la marque ne fait pas les choses à moitié. En quelques années, ils ont déposé plus de 150 brevets, principalement sur les moteurs numériques haute vitesse, la navigation intelligente et la séparation cyclonique. On comprend mieux pourquoi leurs aspirateurs ont rapidement gagné en popularité.

Le grand virage s’est produit au CES de Las Vegas 2024, quand elle a dévoilée son premier robot tondeuse, le Dreame A1. Un sacré culot quand on sait que le marché est dominé par des géants comme Husqvarna ou Gardena depuis des années.

Le Dreame A1 est surmonté d’une tour LiDAR, tout comme les aspirateurs robots de la marque, et reprend finalement la même approche : cartographier l’environnement et naviguer intelligemment, mais cette fois-ci sur votre pelouse plutôt que votre salon. Rapidement suivi par le modèle A2 encore plus performant, ces robots se distinguent par leur installation sans fil, là où la concurrence vous oblige souvent à enterrer un câble périphérique tout autour de votre jardin.

Niveau prix, comptez environ 1999€ pour la A1, ce qui reste compétitif face aux marques établies, surtout avec toutes les fonctionnalités embarquées. On sent que Dreame veut vraiment se faire une place au soleil en proposant une alternative innovante aux solutions traditionnelles.

En à peine quelques années, Dreame est donc passée d’un simple fabricant d’aspirateurs à un challenger sérieux sur le marché des robots de jardinage. Pas mal pour une entreprise qui n’existait même pas il y a 8 ans!

Mon Verdict : Une Révolution Qui Vaut le Coup ?

Après plusieurs mois d’utilisation intensive, je suis convaincu que les robots tondeuses Dreame représentent une véritable avancée dans ce domaine. Leur approche sans fil et leur navigation intelligente les placent clairement au-dessus de nombreux concurrents comme Gardena, Robomow ou même certains Husqvarna Automower que j’ai pu tester.

Si vous en avez assez de passer vos week-ends à pousser une tondeuse bruyante ou à vous battre avec des câbles électriques, ces robots méritent vraiment votre attention. Le choix entre le A1 et le A2 dépendra principalement de la taille de votre terrain, de votre exigence pour les finitions près des bordures, et bien sûr de votre budget.

Pour ma part, j’ai opté pour le A1 sur mon terrain de taille moyenne, et je ne regrette pas mon investissement. La liberté retrouvée et la qualité constante de ma pelouse justifient largement la dépense initiale.

Avec ces tondeuses autonomes programmables, vous direz adieu aux tondeuses thermiques assourdissantes et aux corvées du week-end. Leur système de délimitation intelligent sans câble périphérique est tout simplement révolutionnaire pour qui veut un jardin parfaitement entretenu sans effort.

Bref, si vous cherchez un excellent rapport qualité/prix et que vous valorisez votre temps libre plus que les heures passées à tondre, les robots Dreame pourraient bien transformer votre relation avec votre jardin.

Questions Fréquentes sur les Robots Tondeuses Dreame

Quelle est la différence entre le Dreame A1 et le Dreame A2 ?

Je me suis longtemps posé la question avant de craquer ! Après avoir manipulé les deux modèles pendant plusieurs semaines, je peux vous dire que la différence saute aux yeux dès qu’on les voit travailler côte à côte.
Pour le prix d’abord, on est sur des univers différents : comptez environ 1399€ pour le A1 contre 2499-2799€ pour le A2. Ça fait réfléchir, mais attendez de voir ce qu’on gagne au change !
Ce qui m’a le plus bluffé, c’est la gestion des bordures. Mon A1 me laissait une bande d’herbe non tondue d’environ 30 cm le long des clôtures – frustrant quand on cherche la perfection ! Le A2, lui, avec son système EdgeMaster, s’approche à moins de 5 cm des bordures. La différence est tellement flagrante que j’ai failli revendre mon A1 après avoir vu le A2 chez un ami.
Côté navigation, le petit A1 se débrouille très bien avec son LiDAR 3D, mais le A2 est carrément d’un autre niveau. La combinaison LiDAR + caméra IA lui permet de voir et comprendre vraiment son environnement. Un jour, j’ai volontairement laissé traîner le jouet du chien dans le jardin : le A1 l’a percuté de plein fouet, tandis que le A2 l’a soigneusement contourné. Impressionnant !
Pour mon jardin de 1800 m², le A1 suffit largement. Mais mon voisin avec ses 2800 m² jure que seul le A2 arrive à tout couvrir efficacement en une journée. Logique, puisqu’il peut gérer jusqu’à 3000 m² contre 2000 m² pour le A1.
Autre truc sympa que j’ai découvert un peu par hasard : le A2 est beaucoup plus silencieux. Je peux programmer des tontes nocturnes sans risquer d’énerver ma femme ou les voisins !
Bref, si vous avez un budget limité et un jardin standard, le A1 fera très bien l’affaire. Mais si, comme moi, vous êtes un peu maniaque des finitions parfaites ou que vous avez un grand terrain, le A2 vaut clairement son supplément de prix !

Le Dreame A1 est-il vraiment efficace sur les pelouses en pente ?

Oh là là, sujet sensible pour moi qui habite sur un terrain vallonné ! Mon jardin a une partie avec une belle pente de 30%, et c’était justement ma grande inquiétude avant d’acheter le Dreame A1.
Les spécifications disent qu’il grimpe jusqu’à 45% (24°) et, soyons honnêtes, je n’y croyais pas trop. Et pourtant ! J’ai été agréablement surpris de voir mon petit robot s’attaquer vaillamment à ma butte sans broncher.
Par contre, il y a un GROS « mais » que j’ai découvert à mes dépens : après une bonne averse de printemps, c’était une autre histoire ! Sans freins, mon pauvre A1 s’est mis à déraper comme sur une piste de luge. Un spectacle à la fois drôle et inquiétant. Heureusement, il est assez malin pour revenir et réessayer jusqu’à ce qu’il réussisse à tondre correctement.
J’ai aussi eu quelques frayeurs quand il a rencontré les taupinières que mon jardin semble produire en quantité industrielle. Ses petites roues avant se sont parfois trouvées coincées, le laissant patiner sur place comme un hamster dans sa roue ! Depuis, je fais un petit tour de terrain avant de le lancer.
Mon conseil de jardinier amateur ? Si votre jardin ressemble aux alpages suisses, réfléchissez peut-être au A2 ou à un modèle spécifique pour fortes pentes. Pour tout le reste, le A1 s’en sort étonnamment bien. C’est comme pour les voitures – on n’a pas besoin d’un 4×4 pour monter un trottoir !

Quels défauts ai-je découverts avec mon Dreame A1 au quotidien ?

Après six mois de vie commune avec mon Dreame A1, notre relation n’est pas toujours au beau fixe ! Je l’adore, mais comme dans tout couple, j’ai découvert quelques petits défauts qui peuvent agacer au quotidien.
Premier accroc : les rotations sur place. Devant sa base, mon pauvre gazon ressemble maintenant à un green de golf maltraité ! Le robot pivote toujours au même endroit et a littéralement arraché l’herbe par endroits. J’ai fini par installer une petite dalle discrète pour éviter ce massacre végétal.
Les bordures, parlons-en ! C’est mon plus grand regret. Ces fameux 30-40 cm non tondus le long des clôtures m’obligent à sortir mon coupe-bordure à chaque fois. Un dimanche sur deux, me voilà donc avec mon vieux coupe-bordure à finir le travail que monsieur Robot a dédaigné… Pas exactement l’avenir sans corvée qu’on m’avait vendu !
Et les coins ? N’en parlons pas ! Mon robot les évite comme la peste, préférant faire de jolies courbes plutôt que d’affronter un angle droit. Résultat : des petits triangles d’herbe intacts dans chaque recoin du jardin.
Un autre truc qui m’a surpris, c’est la fragilité du plastique. Après une rencontre musclée avec la balançoire des enfants, mon A1 arbore fièrement une belle rayure de guerre sur sa carrosserie blanche. Pas dramatique, mais pour le prix, j’aurais aimé un matériau plus résistant.
J’ai aussi eu quelques frayeurs quand le robot s’est jeté tête baissée sur le tuyau d’arrosage que j’avais oublié dans l’herbe. Son LiDAR, apparemment, ne voit pas tout ! Depuis, je fais un petit tour d’inspection avant de le lancer, comme on rangerait son salon avant l’arrivée de l’aspirateur robot.
Malgré tout ça, je ne regrette pas mon achat. C’est comme avec une voiture : on râle sur les petits défauts mais on apprécie quand même le service rendu !

Comment je m’occupe de mon robot Dreame au quotidien ?

La maintenance, c’était ma grande phobie avant d’acheter ! Je déteste bricoler et je craignais de devoir passer des heures à bichonner cette petite bête électronique. Bonne surprise : c’est beaucoup plus simple que je ne pensais !
Mon rituel du dimanche matin ? Un petit jet d’eau avec le tuyau d’arrosage quand le robot est vraiment crasseux après avoir tondu sous la pluie (oui, il le fait sans broncher, c’est assez bluffant !). Le Dreame est certifié IPX6, donc pas d’inquiétude pour l’électronique. La première fois, j’avoue avoir été un peu stressé en l’arrosant, mais maintenant c’est devenu un jeu d’enfant.
Pour les lames, j’ai pris le rythme de les changer toutes les 7-8 semaines environ. J’ai noté la date dans mon calendrier smartphone. Une fois, j’ai voulu faire des économies en gardant les lames plus longtemps… Mauvaise idée ! La qualité de coupe s’était tellement dégradée que mon gazon ressemblait plus à un champ de blé mâchouillé qu’à une pelouse anglaise.
Petite astuce que j’ai découverte : les contacts de charge s’encrassent facilement, surtout en période sèche et poussiéreuse. Un coup de chiffon sec de temps en temps et le tour est joué ! J’ai négligé cette étape pendant un mois et mon robot avait du mal à se recharger correctement – leçon apprise !
Les capteurs aussi méritent un petit nettoyage occasionnel, surtout le LiDAR sur le dessus. Perso, j’utilise un petit pinceau de maquillage « emprunté » à ma femme (ne lui dites pas !). Ça enlève parfaitement la poussière sans risquer de rayer quoi que ce soit.
L’appli m’envoie des rappels pour les mises à jour, et je les fais généralement pendant que le robot se recharge. Une fois, j’ai ignoré une mise à jour pendant des semaines, et j’ai regretté : la nouvelle version améliorait justement la gestion des bordures que je trouvais problématique.
Franchement, côté entretien, on est loin de ce que demandait ma vieille tondeuse thermique avec ses vidanges, filtres et bougies à changer. C’est vraiment l’un des grands avantages de ces bestioles électriques !

Combien de temps durent les lames et où je trouve mes pièces de rechange ?

Ah, les lames ! Le sujet qui fâche un peu quand on parle budget d’entretien. D’après le manuel, les lames sont censées durer 6 à 8 semaines. Au début, je pensais que c’était juste une stratégie commerciale pour nous faire racheter des pièces, mais j’ai vite déchanté…
Lors de ma première saison avec le Dreame, j’ai voulu jouer au malin en gardant les mêmes lames pendant 3 mois. Grossière erreur ! Non seulement la qualité de coupe s’était dégradée (mon gazon avait l’air d’avoir été mâchouillé plutôt que tondu), mais en plus, j’ai remarqué que le robot tournait plus longtemps, la batterie se vidait plus vite, bref, tout fonctionnait moins bien.
En réalité, la durée dépend vraiment de votre jardin. Chez moi, avec quelques racines qui affleurent par-ci par-là et un sol légèrement caillouteux par endroits, les lames s’émoussent plus vite. En plein printemps, quand l’herbe pousse comme folle, je change même toutes les 5 semaines. En fin d’été, quand tout est plus sec, je peux étirer jusqu’à 9-10 semaines.
Pour les acheter, j’ai d’abord essayé le site officiel Dreame : pratique mais un peu cher. J’ai ensuite découvert des packs sur Amazon qui étaient un poil moins onéreux. Un jour, tenté par les économies, j’ai acheté des lames « compatibles » d’une marque inconnue à moitié prix… Quelle déception ! Elles se sont émoussées en trois semaines à peine et l’une d’elles s’est même légèrement déformée.
Depuis, je reste fidèle aux lames d’origine. J’ai calculé que ça me coûte environ 8-10€ par mois en pièces d’usure, ce qui reste largement moins que l’essence que je mettais dans mon ancienne tondeuse thermique (sans parler du temps gagné, évidemment).
Mon petit conseil : achetez toujours les lames par lots de 3 ou 4 jeux. Rien de plus frustrant que de constater un samedi que les lames sont fichues et de devoir attendre la livraison pendant que votre pelouse se transforme en jungle !

Mon robot tond-il vraiment sous la pluie ou c’est du marketing ?

La première fois qu’il s’est mis à pleuvoir pendant que mon Dreame A1 tondait tranquillement, j’ai eu un moment de panique ! J’ai failli me précipiter dehors en pyjama pour le « sauver », avant de me rappeler que le vendeur m’avait assuré qu’il était étanche.
Mais étanche à quel point ? J’ai observé la scène depuis ma fenêtre, à moitié anxieux, à moitié fasciné. Et vous savez quoi ? Ce petit guerrier a continué sa route sous l’averse comme si de rien n’était !
Depuis, j’ai vécu plusieurs scénarios pluvieux avec mon robot, et voici ce que j’ai constaté : sous une pluie légère à modérée, il fonctionne parfaitement bien. L’herbe humide ne semble pas lui poser de problème particulier pour la coupe. J’ai même l’impression que la tonte est plus nette parfois, probablement parce que l’herbe est plus souple.
Par contre, j’ai remarqué deux choses qui ne figurent pas dans la brochure marketing :
Premièrement, après une grosse averse qui a détrempé le terrain, mon robot a laissé des traces de roues assez profondes dans mon gazon, surtout dans les zones où il tourne. Rien de dramatique, mais ça m’a fait grincer des dents la première fois.
Deuxièmement, quand il tond sous la pluie, il accumule beaucoup plus de débris d’herbe mouillée sous son châssis. Résultat : un nettoyage plus fastidieux ensuite. L’herbe mouillée colle partout !
Un avantage inattendu cependant : la poussière habituellement soulevée pendant la tonte par temps sec est complètement éliminée. Ma terrasse reste propre, sans cette fine couche verte qui s’y dépose habituellement.
Ma conclusion après une année d’utilisation : oui, il tond vraiment sous la pluie, et c’est un vrai plus. Mais personnellement, quand je vois que de grosses averses sont annoncées, je préfère reprogrammer la tonte. Non pas pour le robot, mais pour préserver mon gazon des ornières.

Comment j’ai installé mon robot sans me prendre la tête avec des câbles ?

L’installation sans fil, c’était LA raison qui m’a fait craquer pour un Dreame plutôt qu’une autre marque ! Après avoir vu mon voisin passer un week-end entier à enterrer son câble périphérique pour son robot d’une autre marque, j’étais déterminé à éviter cette galère.
Je me souviens encore du jour où j’ai reçu mon carton. J’étais prêt pour une après-midi compliquée, armé de tournevis et avec le mode d’emploi imprimé. Quelle surprise quand j’ai réalisé que l’installation prendrait moins de temps que le déballage lui-même !
Voici comment ça s’est passé chez moi :
J’ai d’abord cherché le meilleur emplacement pour la station de charge. Il faut un endroit plat, avec une prise électrique pas trop loin et suffisamment d’espace devant (environ 1,5m). J’ai choisi un coin discret près de mon abri de jardin, à l’ombre d’un petit arbuste pour éviter que la station ne chauffe trop en plein soleil d’été.
Une fois branchée, j’ai posé le robot sur sa base pour le charger complètement. Pendant ce temps, j’ai téléchargé l’application Dreame sur mon smartphone – une étape que j’appréhendais, étant moyennement techno-friendly. Mais là encore, bonne surprise : l’interface est vraiment intuitive.
La connexion Wi-Fi m’a donné un petit moment de stress quand il a fallu entrer le mot de passe de mon réseau (que j’avais oublié, évidemment). Après quelques tentatives et un reset de mon routeur, tout s’est connecté sans problème.
La première cartographie m’a fasciné ! J’ai littéralement passé 20 minutes à regarder mon robot explorer méthodiquement mon jardin, comme un explorateur découvrant un nouveau continent. Le LiDAR a créé une carte étonnamment précise de mon terrain.
Ensuite, la partie la plus amusante : définir les zones virtuelles. Sur l’application, j’ai pu tracer des lignes pour indiquer les endroits interdits : le potager, les massifs de fleurs, la zone de jeux des enfants. Je me sentais comme un urbaniste dessinant une ville !
La première tonte test m’a quand même rendu nerveux – j’avais du mal à croire qu’un simple tracé virtuel suffirait à protéger mes rosiers préférés. Mais le robot a scrupuleusement respecté les limites définies.
Petite anecdote : j’ai récemment refait une partie de mon jardin, ajoutant une petite rocaille. Pas besoin de travaux compliqués : une simple mise à jour de la carte dans l’application et le tour était joué. Essayez de faire ça avec un câble enterré !

Mon robot Dreame est-il vraiment silencieux ou je vais énerver mes voisins ?

Le bruit, parlons-en ! Ayant possédé pendant des années une tondeuse thermique qui faisait un vacarme à réveiller les morts, j’étais particulièrement attentif à cet aspect.
Premier démarrage du Dreame A1 : j’ai littéralement dû vérifier deux fois qu’il fonctionnait bien ! Comparé à ma vieille tondeuse qui m’obligeait à porter des bouchons d’oreilles, c’est comme passer d’un concert de heavy metal à un quatuor à cordes.
Pour vous donner une idée concrète : un soir, j’ai programmé une tonte pendant que nous dînions sur la terrasse. Non seulement nous pouvions discuter normalement, mais ma fille s’est même amusée à suivre le robot comme un petit animal de compagnie, tout en me racontant sa journée d’école.
Le A2 est encore plus discret, si j’en crois mon ami qui en possède un. Avec moins de 55 dB, c’est plus silencieux que ma hotte de cuisine en position moyenne !
Ce faible niveau sonore m’a offert une liberté que je n’imaginais pas : je programme souvent des tontes très matinales (6h en été) ou en soirée, quand la température est plus clémente pour mon gazon. Jamais un voisin ne s’est plaint, alors qu’avec mon ancienne tondeuse, j’avais droit à des regards noirs si j’osais la démarrer avant 10h un dimanche.
Petit bonus inattendu : mon chien, qui avait une peur bleue de l’ancienne tondeuse au point de se cacher sous le lit pendant des heures, cohabite paisiblement avec le robot. Il le regarde même avec curiosité, comme s’il se demandait pourquoi ce petit disque blanc lui a piqué son job de gardien du jardin !
La seule fois où j’ai été surpris par le bruit, c’était quand le robot a rencontré un petit caillou qui s’est coincé sous les lames. Là, effectivement, le cliquetis était assez prononcé. Mais dès que j’ai enlevé l’intrus, il est revenu à son ronronnement discret habituel.
Franchement, après un an d’utilisation, je me demande encore comment j’ai pu supporter le vacarme de ma tondeuse thermique pendant toutes ces années !

Sources:

https://global.dreametech.com/fr/pages/brand-story

ugeek.fr/2024/03/24/dreame-roboticmower-a1-le-premier-robot-tondeuse-de-la-marque/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dreame

https://www.notebookcheck.net/Dreame-reveals-Roboticmower-A2-with-new-features-and-upgrades.885289.0.html

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